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Partir 1 an en tour du monde, et après ?…

Le 1er septembre 2018, nous partions réaliser notre rêve : faire le tour du monde pendant 1 an ! Une année exceptionnelle, magique, inoubliable. Mais surtout une année où nous avons pu prendre le temps de vivre et profiter de chaque instant. Une année où nous avons véritablement découvert la signification du mot liberté, cette sensation grisante qui manquait tant à nos vies. Seulement voilà, toutes les bonnes choses ayant une fin, après 350 jours à parcourir le monde il a fallu rentrer et retrouver nos vies d’avant. Ce retour, nous l’appréhendions un peu, nous y avions pensé avant même de partir mais le vivre est une autre histoire. 3 mois après être rentrés en France, nous vous livrons notre ressenti sur cette année extraordinaire et la manière dont nous gérons le retour…

1ère étape : l’euphorie 

« Alors, pas trop dur le retour ?! » 

Cette question, vous êtes nombreux à nous l’avoir posé ! Et il est certain que beaucoup de tourdumondistes ont dû aussi l’entendre. Une question en apparence simple mais à laquelle il n’est pourtant pas si facile de répondre.  

Après 1 an de voyage, de découvertes quotidiennes, de rencontres, de dépassement de soi, d’émerveillement mais aussi de désillusions, de prise de conscience, de fatigue, nous avons vécu, Steph et moi, ce retour de manière un peu différente. En ce qui me concerne, le besoin de retrouver un ancrage a été plus fort que Steph qui se serait bien vu continuer encore l’aventure ! Pour ma part, la fatigue finissait par avoir raison de mon enthousiasme vers la fin du voyage. C’est un peu comme se faire mettre K.O. par la beauté du monde, dans tous les sens du terme!

Un tour du monde ce n’est pas des vacances !!

De retour en France, les premières semaines se sont plutôt bien passées. L’ambiance était à l’euphorie des retrouvailles avec les amis et la famille. Retrouver son confort, son chez soi et de la bonne nourriture bien de chez nous est appréciable. A ce moment-là, nous étions encore sur notre petit nuage. Chaque retrouvaille était l’occasion de revenir sur notre aventure, se remémorant ainsi nos souvenirs, nos défis, nos rencontres et nos petites galères qui à posteriori nous font sourire.  

Le fait d’avoir partagé quotidiennement nos aventures sur notre page Facebook fut bénéfique. Beaucoup de nos proches avaient ainsi l’impression de vivre un peu en direct cette aventure avec nous. C’est d’ailleurs assez drôle de les entendre parler d’un souvenir nous concernant parce qu’on l’avait partagé sur Facebook. Du style : « - ah oui, le trek en Nouvelle-Zélande, c’était trop beau, on a trop kiffé !! »  « - Oui, c’est sûr, ce n’est pas toi qui t’es tapé les 20 km à pied ! » En vrai, on adore, parce qu’on a vraiment la sensation d’avoir pu partager un maximum notre expérience avec nos proches et toutes celles et ceux qui nous ont suivi, chaque jour un peu plus nombreux. 

2ème étape : la prise de conscience 

Les premiers jours sont donc vite passés. Le temps de déballer tous nos cartons pour se réinstaller dans notre appartement que l’on avait sous louer pendant 1 an, une semaine était déjà passée. D’ailleurs, cette étape m’a particulièrement marquée dans le sens où j’ai vraiment pris conscience de l’impact de la société de consommation dans laquelle nous vivons. Après avoir vécu 1 an en sac à dos avec le strict minimum, retrouver autant de biens matériels fut une sensation très étrange presque oppressante. J’avais la sensation d’avoir d’un seul coup bien trop de choses inutiles et c’est comme si cet amas de biens m’enfermait de nouveau dans un système qui n’était plus le mien. J’avais la sensation de me réapproprier une vie ou du moins un style de vie qui ne me correspondait plus… Ne rien posséder pendant 1 an vous reconnecte avec l’essentiel : trouver un endroit où dormir et de quoi manger. POINT.

N’y aurait-il pas trop de superflu dans nos vies ?…

C’est aussi le moment où l’on s’est rendu compte de l’impact de cette expérience sur notre façon de penser et de voir les choses. Nous nous sommes rendu compte que nous prenions désormais beaucoup plus de recul face aux situations qui autrefois nous auraient agacés voire déprimés. Un tour du monde, ça vous apprend à relativiser. Tout le monde sait que la pauvreté existe dans le monde mais la voir de ses propres yeux c’est autre chose. Rencontrer des gens qui n’ont rien mais qui donnent tout est une expérience bouleversante. On en ressort forcément différent, grandi, plus fort et avec un regard nouveau sur le monde et l’humanité.  

3ème étape : l’ennui 

Mais bien que forts de tous ces bienfaits, vient le jour où tu as revu tout le monde, où ton appart est de nouveau opérationnel et où tu retrouves le chemin de ton ancien travail. J’avais en effet obtenu l’accord de mon employeur pour bénéficier d’une année sabbatique. 15 jours après notre retour en France, je retrouvais donc mon bureau, mon écran, mes collègues et… ma routine.  Là encore, les premiers jours, tu refais l’histoire de ton année, tu te mets à jour sur les derniers potins, tu découvres de nouvelles têtes en même temps que tu réalises que d’autres sont parties. Et puis, la première semaine passe puis la deuxième… Et un matin, tu te lèves et tu réalises que ça fait déjà 1 mois que tu as repris « ta vie ». Celle-là même qui t’ennuyait et que tu as voulu bousculer en partant 1 an à travers le monde. Et puis, surtout, tu réalises que rien n’a changé. Pourtant, au fond de toi, plus rien n’est pareil. Tes priorités ne sont plus les mêmes. Tu n’as par exemple plus cette envie frénétique de faire les boutiques alors qu’avant tu avais toutes les cartes de fidélité de tous les magasins ! Tu n’as plus envie de t’enfermer 8 h / jour devant un écran alors qu’il fait si beau dehors. Et surtout, tu supportes difficilement la routine quotidienne qui fatalement se réinstalles. Le plus étrange c’est ce rapport au temps assez paradoxale. D’un côté, tu as l’impression d’avoir vécu 1000 vies et en même temps c’est comme si tu étais parti en vacances 3 semaines car les choses ne changent pas tellement en un an. C’est un peu comme si cette année n’avait pas existé et qu’on reprenait nos marques presque trop facilement.  Bref, c’est un peu déroutant.

Et par moments, tu suffoques. Tu as la même sensation d’un oiseau qu’on aurait remis en cage, privé de sa liberté. Tu as la bougeotte parce que tu avais pris l’habitude de marcher beaucoup tous les jours. Le constat est sans appel : tu t’ennuies… La découverte, l’inconnu, l’aventure, les rencontres te manquent viscéralement. Tu as retrouvé tes habitudes, ta routine, celle qui peut être rassurante mais aussi, avouons-le, pas très motivante ! 

4ème étape : se nourrir des souvenirs 

Alors que l’automne s’installe, en même temps que son lot de grisaille, de pluie et de froid, tu te réfugies alors dans les souvenirs puisqu’il ne te reste plus que ça… Tu replonges avec nostalgie dans tes milliers de photos*. Parce qu’à la même époque, tu étais au Canada, au milieu d’une forêt flamboyante aux couleurs de l’été indien.  

C’était juste après avoir passé 3 semaines à découvrir la démesure des plus beaux parcs de l’ouest américain.  

Viennent ensuite les sourires inoubliables du peuple birman, l’effervescences des grandes villes d’Asie, sa culture si dépaysante et ses situations improbables qui nous feront toujours rire.  

Tu te rappelles aussi de cette sensation enivrante de liberté au volant de ton van sur les routes de Nouvelle-Zélande et d’Australie. 

Et ce jour où tu as cru rêver en voyant autour de toi des centaines de dauphins ! 

Ces kilomètres avalés chaque jour avec toujours la même soif de découverte. Et cette nuit passée sous les étoiles en plein milieu du désert de l’outback australien… 

Viennent ensuite les images d’un caillou sacré perdu au milieu du Pacifique où l’on a pu découvrir un peuple kanak accueillant et des paysages splendides.  

Et puis ton cœur semble faire une pause un peu plus longue sur les plages paradisiaques de Polynésie. Là où sous la force du mana tu as promis fidélité et amour éternel à ta moitié sur une plage de Bora Bora, un matin, au 10ème mois de ce voyage. D’ailleurs, tu t’es promis qu’un jour tu y retourneras, pour quelques semaines ou plus… Parce que là-bas, tu t’y serais bien vu vivre. 

Enfin, dans ce tourbillon de souvenirs, tu arrives sur l’île de Pâques, ce lieu mystique du bout du monde dont tu as foulé le sol et tenté de percer le mystère sans vraiment y parvenir.  

S’en suivent alors les derniers souvenirs de ce tour du monde qui nous a mené du Chili au Pérou en passant par la Bolivie. Ses déserts, ses montagnes, ses conditions parfois difficiles liées à l’altitude et ses grèves indéterminées qui nous ont tant usés vers la fin mais qu’on serait maintenant prêts à revivre s’il nous était donnée la chance de remonter le temps…  

Et puis au-delà des souvenirs visuels, ce sont des odeurs qui te reviennent, des sons qui envahissent ton esprit. Des klaxons incessants en Asie aux musiques entraînantes polynésiennes jusqu’à cette chanson de Céline Dion My Heart will go on qui a ouvert notre entrée sur le Salar d’Uyuni ! Un instant improbable, hors du temps (spéciale dédicace à Claire et Nicolas, nos compagnons de route durant ces 4 jours passés à 5000 m d’altitude avec un guide sympathique mais ne tenant pas très bien l’alcool !) Et ces odeurs de frangipanier qu’on aimait tant, de vanille, ce goût salé de la mer et toutes ces odeurs indéterminables de street food, dans les marchés, de poissons séchés, de fruits exotiques et de tant de mets inconnus pour nous, pauvres occidentaux.

Bref, tu l’auras compris, nos souvenirs sont inépuisables. Un trésor inestimable que le temps nous volera sans doute peu à peu… 

*Faire une sauvegarde de tes souvenirs ! 

On en profite pour te conseiller FORTEMENT de faire plusieurs sauvegardes de tes photos, vidéos et autres documents auxquels tu tiens si tu ne veux pas qu’il t’arrive la même mésaventure qu’à nous. En effet, notre plus grosse peur lors de notre tour du monde était de se faire voler nos affaires importantes et notamment notre disque dur externe où sont stockées toutes nos photos et vidéos. On était heureux car on avait échappé au vol ou à la perte… Seulement voilà, quelques jours après notre retour en France, impossible d’accéder aux données de notre disque dur ! On a tout essayé. Nous n’avions donc plus accès à nos milliers de photos et vidéos de nos 1 an de voyage !! Autant vous dire qu’on avait grave les boules…

Après l’avoir fait passer entre plusieurs mains expertes en informatique sans succès, nous avons décider de tenter l’ultime solution en passant par un professionnel de la récupération de données. Après un démontage du disque en chambre blanche, nous avons pu récupérer nos données ! Alléluia !! Ce genre de procédé est assez coûteux (500 € dans notre cas) mais il y a des souvenirs inestimables…

Un conseil donc : faites plusieurs sauvegardes ! Sur un ou deux disques durs et sur un stockage en ligne. Au moins, en cas de panne, de perte ou de vol, vous pourrez toujours les récupérer. 

5ème étape : Accepter ou changer ? 

3 mois après notre retour en France, nous voici donc à la 5ème étape de ce retour post tour du monde. Et force est de constater qu’à ce jour, 2 solutions se présentent : accepter ce retour à une vie « normale » ou décider d’en changer. Pour le moment, rien n’est figé. Nous attendons de voir comment les prochains mois vont se déroulés. Mais une chose est sûre : notre passion pour les voyages n’est pas prête de s’arrêter ! 

En tout cas, la morale de cette histoire est que tu ne ressors pas indemne d’un tour du monde. Et bien que chacun réagisse différemment, cette expérience est la seule qui puisse t’enrichir autant qu’elle ne te vide. Car au-delà des paysages magnifiques que l’on a eu la chance de découvrir, c’est avant tout une aventure humaine extraordinaire où tu apprends beaucoup sur les autres mais aussi sur toi-même. Tu ne vois plus le monde, tu le regardes. Tu n’entends plus les gens, tu les écoutes. Tu ne te plaints plus pour rien, tu relativises. Bon, même si les petits travers du quotidien reprennent malheureusement vite le dessus…

La liste des bienfaits d’une telle aventure est longue et propre à chacun. Et si la décision de sauter le pas n’est pas toujours facile à prendre, c’est sans aucun doute la meilleure que l’on est prise de toute notre vie. La vie est courte et j’ai tendance à dire qu’il vaut mieux avoir des remords que des regrets… Alors, si vous aussi, l’idée de quitter votre quotidien pour parcourir le monde vous trotte dans la tête, n’hésitez plus. Lâchez votre zone de confort, défoncez les barrières, n’écoutez plus les rébarbatifs qui vous diront que c’est dangereux, qu’il n’est pas raisonnable de quitter un CDI en ces temps de crise, qu’avec les enfants c’est compliqué, etc. Abandonnez toutes ces excuses qui vous empêchent d’avancer et de réaliser votre rêve. Beaucoup de gens nous ont dit qu’on avait de la chance de réaliser ce tour du monde. Or, cette expérience n’a rien à voir avec de la chance. On s’est juste donné les moyens de réaliser notre rêve… Et malgré les sacrifices que nous avons dû faire, on peut dire aujourd’hui haut et fort qu’on ne regrette rien !

« Rester, c’est exister mais voyager, c’est vivre ».

Pour finir cet article, on ne pouvait pas parler de notre tour du monde sans évoquer toutes ces rencontres sans qui ce voyage n’aurait sans doute pas eu la même saveur. Il y a eu tous ces voyageurs au long cours qui, comme nous, ont décidé un jour de prendre le large pour quelques mois, quelques années voire pour la vie. Nous pensons notamment à Lyly (anciennement du blog Jus de Voyage), que nous avons retrouvé à Montréal. Pamela, Yann et leurs 2 filles Emma et Luna, une famille plus connue sous le nom de Pyle face au monde. Nous les avons rencontré au Laos et nous avons passé ensemble des moments formidables. Tout comme avec Pauline, Marco et leurs 2 enfants Emilio et Anna qui forment Les Paz Partout ou encore Line, notre baroudeuse du sud. Charlotte et Morgane rencontrées à la frontière Thaïlande-Laos avec qui nous avons partagé un bon moment dans un bar au Laos et qu’on a eu plaisir de retrouver au Vietnam. Nous pensons aussi à notre Grande Céline avec qui nous avons fais un petit bout de route au Vietnam. Sylvain et Guilhem, nos compagnons de galère rencontrés à l’aéroport de Phu Quoc, quand on s’est retrouvés bloqués à cause d’une tempête. Jeremy aux cascades de Luang Prabang, Claire et Nicolas avec qui nous avons partagé 4 jours glaciales mais inoubliables en 4×4 en Bolivie. Et tant d’autres dont on a parfois oublié le nom (on s’en excuse). Mais parce qu’au fond, l’important n’est pas l’identité, l’âge ou la provenance. L’important c’est l’échange et ces courts instants de vie que tu partages avec un inconnu au milieu de nul part aux quatre coins du monde. Parce qu’entre voyageurs, peu importe le pays d’origine, tu parles le même langage.

Et puis il y a eu toutes ces rencontres avec les locaux. Ce chauffeur de bus à Montréal prêt à me donner ses gants parce que j’avais froid, cette mamie birmane dont je n’oublierai jamais le sourire, Manola et Vete’a, deux super nanas qui tiennent la pension Arritere à Huahine (on reviendra promis), la douce Hinano à Rangiroa, Laurent à Tahiti, Asenata l’hôtesse de l’air à Moorea, les 2 incroyables nanas du Relais Royal à Tikehau dont nous avons oublié les prénoms mais pas les chansons ! David et Françoise de Tontouta pour nous avoir accueillis si chaleureusement chez eux en Nouvelle-Calédonie et Nelly sur l’île d’Ouvéa. Pepe, ce gérant de camping sur l’île de Pâques : je porte ton cadeau presque tous les jours 😉 Et tant d’autres rencontres, souvent furtives mais qui laissent pourtant une trace indélébile au fond du cœur.

Pour terminer, je voudrais dire MERCI.

Merci à mon toulousain d’amour qui fut mon compagnon de voyage durant ces 350 jours et qui a supporté mes faiblesses tout en me donnant la force d’avancer. Grâce à toi on ne s’est jamais perdu (#boussolehumaine), tu étais mon repère, celui sur qui je pouvais toujours compter. Celui qui est devenu mon Tane et qui m’a toujours pousser à ne jamais abandonner même quand j’étais au bout du rouleau après des kilomètres de randonnées! J’ai vécu avec toi la plus belle année de mon existence…

Merci à toi maman de m’avoir donné la vie m’offrant ainsi l’opportunité de découvrir ce monde. Et merci à toi papa, puisque tu y est aussi pour quelque chose 😉 Vous m’avez toujours soutenu dans mes choix, quels qu’ils soient, même si je sais que cela n’a pas toujours été facile pour vous.

Et enfin, merci à vous, lecteurs, pour nous avoir suivi et soutenu tout au long de cette belle aventure. Ce voyage, nous l’avons vécu pour nous, certes, mais nous étions chaque jour impatients de vous partager nos découvertes. Et on espère sincèrement vous avoir donner envie d’aller voir le monde de vos propres yeux!

Alors n’hésitez plus et à très bientôt pour de nouvelles aventures !

 

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8 commentaires sur “Partir 1 an en tour du monde, et après ?…”

  1. Bonjour
    Merci de faire tout ce que vous faites par vos écris et vos photos

    J ai eu beaucoup de plaisir à vous lire

    Vous formez un magnifique couple (cela fait envie moi qui suis seule)

    Je vous souhaite tout le bonheur du monde

    J ai fini votre article en pleurant c était très touchant

    En vous lisant je suis allée en Thaïlande et à Séville

    J aime aussi beaucoup voyager

    Je vous embrasse

    Nicole

    1. Merci beaucoup 🙂 Même si l’idée n’était pas de faire pleurer ^^ Mais je suis touchée que mes mots arrivent à refléter notre état d’esprit. Et ravie que nos articles aient pu t’aider à voyager! On te souhaite de vivre encore de beaux voyages!

  2. Quel bel article, mes larmes coulent tellement c’est émouvant …
    Merci de nous avoir permis de vivre ça avec vous …
    Et quand tu dis qu en rentrant tu ne vois plus le monde mais tu le regardes, tu mets des mots sur ce que j’ai ressenti en rentrant de voyage de noces à Tahiti il y a 16 ans … c’était pourtant court mais si intense!!…
    Bonne continuation a vous …
    Et plein de bonheur ;>

    1. Merci beaucoup, ça me touche que mes mots aient réussi à résonner dans ton cœur 😉 Il n’est pas nécessaire de partir longtemps pour ressentir toutes ces émotions, parfois quelques jours ou même une brève rencontre peuvent nous bouleverser. Pour la Polynésie, à peine avions-nous posé le pied sur le sol de Tahiti que nous savions déjà que nous allions y vivre nos meilleurs souvenirs…

  3. merci, un grand merci pour votre partage
    l’envie de faire comme vous, me trotte de jour en jour mais le saut est difficile, pourquoi comment, trop de questions encore.
    toutes ces images nous donne l’envie de connaitre autre chose et de se dire, nous en France on a tout, eux rien est vive quand même.
    merci encore
    j’ai fait la Birmanie et celui là je ne l’oublierai jamais et la Thaïlande est le prochain mais en sac à dos mais on doit le préparer ?
    je vous embrasse

    1. Si l’envie est là, fonce! Je comprends très bien toutes ces questions qui t’envahissent et peuvent freiner ton élan. Mais je peux t’assurer qu’une fois lancé, tu vivras la plus belle expérience d’une vie. Tu trouveras des tas d’infos sur le net, sur les blogs comme le nôtre ;), des groupes Facebook qui peuvent être d’une grande aide.
      La Birmanie reste l’un de nos plus beaux souvenirs humainement parlant.
      Pour la Thaïlande, il est très facile de voyager là-bas et il n’est pas obligatoire de préparer quoi que ce soit en avance. Après, tout dépend du temps dont tu disposes et de ta façon de voyager. Hormis notre passage à Chiang Rai lors de notre tour du monde, nous y avions passé 15 jours en sac à dos en 2017. Cette fois-ci, nous avions réservé en amont les hébergements et prévu un itinéraire pour ne pas perdre trop de temps sur place mais rien n’empêche de partir à l’aventure sans préparation. Nous avons écris un article sur notre itinéraire du nord au sud si ça peut t’aider 😉 http://www.lesamoureuxdumonde.com/thailande-itineraire-nord-sud-15-jours/

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