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Visiter le Centre Rouge en 7 jours

Visiter le Centre Rouge en 7 jours : Alice Springs, Uluru, Kata Tjuta et Kings Canyon

Première étape de notre voyage en Australie, la région du centre rouge (« red center » en anglais) est LE désert central du pays. Une étape, selon nous, incontournable dans un road trip en Australie. On y trouve notamment le célèbre Uluru, également connu sous le nom d’Ayers Rock, un énorme rocher devenu en quelque sorte l’emblème du pays. Il nous était impensable de venir en Australie sans admirer cette merveille de la nature qui nous avait tant fait rêver lors de la préparation de notre tour du monde.

Outre ce rocher sacré, cette région de l’Outback australien offre aussi d’autres trésors comme les West MacDonnell Ranges ou encore Kings Canyon.

Découvrez dans cet article notre comment visiter le centre rouge en van en 7 jours.

2 jours à Alice Springs

Jour 1 – Vol vers Alice Springs

Après une nuit Blanche à l’aéroport et 2 vols (Auckland – Brisbane et Brisbane – Alice Springs), nous arrivons un peu avant 13 h à Alice Springs. Nous prenons un taxi (46,72 AUD) pour rejoindre notre loueur Apollo qui se situe à environ 15 km et prendre possession de notre maison roulante pour les 2 prochains mois. N’ayant pas pris l’assurance All inclusive du loueur, bien trop chère pour ne pas tout garantir, nous devons laissé une caution de 3500 AUD qui nous sera restituée au retour si nous n’avons pas eu de dégâts. Cette somme est prélevée sur la carte avec au passage des frais de 70 AUD ! C’est exagéré mais pas le choix…

Notre van Apollo à Alice Springs

Après avoir fait le tour complet du van et essayé tous les équipements pour être sûr que tout fonctionne correctement, on part direction le Woolworths du coin pour faire le plein de courses. Le frigo du van est un peu plus petit que celui que nous avions en Nouvelle-Zélande donc pas facile de tout faire rentrer mais avec un expert en tetris on finit par y arriver !

Notre première impression de la ville d’Alice Springs n’est pas terrible. C’est désert et de nombreux aborigènes errent dans les rues ou squattent un peu partout. On ne sent pas vraiment en sécurité, je ne suis pas vraiment rassurée de laisser le van le temps d’aller faire les courses, surtout qu’on avait lu pas mal de choses négatives sur la ville, comme quoi les vols étaient fréquents… Bref, l’ambiance est glauque et avec la fatigue on préfère aller se trouver un site pour la nuit plutôt que de commencer les visites. D’autant plus qu’il fait une chaleur de dingue (autour des 40°), ça nous change de la Nouvelle-Zélande !

Où dormir à Alice Springs en van ?

Pour éviter de trop s’éloigner et devoir faire des aller retour, on choisit un camping payant situé à 2 km du centre ville « Alice Springs Tourist Park » pour 34 AUD sans électricité mais toutes les commodités et même une piscine où l’on ira se rafraîchir avant de prendre une bonne douche, dîner et dormir tant bien que mal malgré la chaleur dans le van ! Même la nuit, ça ne semble pas descendre en-dessous des 30°.

Jour 2 – West MacDonnell Ranges

Après une nuit plutôt chaude où nous avons carrément dû laisser la porte du van ouverte pour ne pas étouffer, nous commençons notre découverte de l’Outback australien.
Ayant compris que les mouches vont être un véritable fléau ici (elles se collent littéralement à votre visage essayant de s’infiltrer par tous les orifices possibles!), nous décidons d’acheter un fly-net, une sorte de filet que l’on met sur la tête pour se protéger.

Nous décidons de ne pas nous attarder sur Alice Springs et ne faisons qu’une halte au Anzac Hill, un point de vue situé en haut d’une colline qui offre une vue à 360° sur la ville et ses alentours. Des panneaux y racontent l’histoire de la ville et son développement. Souvent décrit comme un des immanquables à Alice, notamment pour le coucher de soleil, nous n’y avons pas trouvé d’intérêt particulier… La vue n’est pas exceptionnelle, néanmoins, il s’agit d’un site sacré pour les aborigènes. Il y a un parking gratuit au sommet.

Nous décidons donc de partir découvrir les MacDonnell Ranges qui forment une chaîne de montagnes longue de 650 kilomètres et séparent Alice en deux. Il y a deux parties à découvrir, la partie Est et la partie Ouest, où il y a plus de sites à découvrir.

Nous commençons donc par la partie Ouest des MacDonnell Ranges qui est accessible via une route goudronnée (Larapinta drive). Certains sites sont ensuite accessibles via des chemins non goudronnés mais souvent de courtes distances.

  • 1er arrêt à Simpson Gap, où une marche de 20 mn A/R mène jusqu’à un point d’eau au milieu d’une gorge (encore un peu à l’ombre en fin de matinée). On y verra nos premiers wallabys qui semblent plus curieux que craintifs. Les apercevoir ainsi en pleine nature au milieu des rochers est un vrai bonheur.
    On se dit aussi qu’on a bien fait d’acheter nos filets car des dizaines de mouches nous entourent et se collent à nous et sur le filet. Alors ce n’est certes pas très esthétique et un peu embêtant (il faut accepter d’avoir une vue un peu quadrillée et le côté un peu oppressant) mais ça évite que les mouches se collent au visage et s’introduisent dans les oreilles, le coin des yeux, le nez, ce qui est bien plus embêtant !
  • Direction ensuite Ellery Creek Big Hole qui sera un arrêt parfait pour une baignade dans un petit lac, au milieu des rochers et d’une faille. On en profite pour déjeuner à l’ombre sur l’air de pique nique aménagée mais toujours avec la présence de ces p…. de mouches! On peut aussi emprunter la Dolomite Walk (3 km) qui vous prendra environ 1 h 30. Par flemme et surtout à cause des mouches et de la chaleur, on ne la fera pas. Le site de Ellery Creek Big Hole est accessible via un chemin de terre de 2 km et on peut apparemment y camper. Il y a des WC et de l’eau potable.
  • 3ème arrêt à Ochre Pits. Ici, pas de piste pour y accéder, mais une route goudronnée ! Il s’agit d’un canyon où se mélangent plusieurs couleurs sur les parois. Une plateforme d’observation se trouve à 200 m du parking. Le paysage autour est complètement désertique et semble avoir brûlé…

Ochre Pits MacDonnell Ranges

  • Dernier arrêt : Ormiston Gorge. L’occasion de refaire un p’tit plouf pour se rafraîchir. On peut aussi faire la Gum Ghost Walk, une boucle de  2,5km. Cette marche mène tout d’abord à un point de vue (20 min de marche) pour ensuite faire une boucle sur la gorge et finir en rejoignant le point d’eau. Là encore, les 40° et les mouches auront raison de notre motivation! Il est possible de camper sur le parking de ce site moyennant 10$/pers. Il est 17 h, on préfère retourner sur Alice Springs pour compléter les courses et entamer la route vers Uluru. Sur la route, on assiste à un magnifique coucher de soleil !

    On dormira sur une aire gratuite à 60 km de Alice Springs, juste à côté des WC. Là, on est vraiment seuls au monde, au milieu de nul part avec un ciel étoilé de malade ! 

2 jours à Uluru (Ayers Rock)

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Jour 3 – Route vers Uluru

Nous partons vers 8 h 30 pour faire la route jusqu’à Uluru. Après une accalmie la nuit, les mouches sont de retour ! Sur la route, on croise de nombreuses carcasses de kangourous ainsi que pas mal de pneus éclatés ! C’est assez monotone, c’est le désert, on ne capte pas la radio, pas de réseau et on ne croise que peu de véhicules et aucunes villes.

Uluru 

Imposant, fascinant, mythique, nous voici enfin devant ce gros cailloux, emblème de l’Australie. Un peu comme les 3 cailloux de Monument Valley aux États-Unis, on l’a tellement vu en photos dans des livres, sur internet, à la télé, qu’on a l’impression de déjà le connaître et pourtant, la sensation d’euphorie en arrivant devant est bien là ! Comme un p’tit bout de rêve réalisé. On se revoit encore sur notre canapé en France, en train de préparer notre tour du monde et s’imaginer devant ce rocher sacré pour les aborigènes et perdu au milieu du désert australien.

Après une visite au centre culturel où certains panneaux sont en français (interdit de prendre des photos), quelques pauses photos, on a juste posé le van au meilleur endroit pour assister au coucher de soleil sur Uluru et là, allongés sur nos banquettes, doucement ventilés, suffisamment pour éloigner les mouches, on a juste profité de la vue, de l’instant… Un moment magique.

Où dormir près d’Uluru ?

Nous avons dormi dans un Camping payant, le seul à Ayers Rock. 

Ayers Rocks Campground

Jour 4 – Uluru au plus près

Aujourd’hui, réveil à 5 h 15 pour assister au lever de soleil sur Uluru. Petit à petit, le rocher s’illumine pour atteindre sa couleur orangée qui lui va si bien !

N’ayant pas le courage de faire la marche de 10 km qui fait le tour du rocher (il fait déjà 36° à 8 h), on se contente de quelques courtes marches qui mènent au plus près du rocher offrant ainsi des points de vue différents. C’est vraiment en s’approchant qu’on se rend compte de l’immensité du site et du côté sacré de ce rocher pour les aborigènes pour lequel ils vouent un grand respect. Certaines parties sont d’une telle importance religieuse qu’il est interdit de les photographier.

La légende d’Uluru selon les aborigènes

Pour les aborigènes, la formation du rocher Uluru n’a rien de scientifique. Elle ne serait qu’un des éléments de leur légende : the « Dreamtime ». En effet, les aborigènes ont attribué à certains lieux une symbolique particulière. Dans leur croyance, des êtres ancestraux du temps du rêve (humains ou animaux), en voyageant sur terre, ont formé les paysages tels qu’on les connaît aujourd’hui. Uluru serait justement l’incarnation de l’un de ces paysages.
Ainsi, the « Dreamtime », c’est un peu comme la bible des aborigènes, sauf qu’il n’y a aucun écrit. Ce savoir est transmis uniquement de génération en génération d’aborigènes par l’intermédiaire d’histoires, de peintures, de sculptures ou de cérémonies. Ce mode de transmission fait qu’il existe aujourd’hui plusieurs interprétations concernant l’origine exacte d’Uluru. L’une d’elle est notamment une bataille de serpents géants qui aurait sculpté la roche. Why not?…

Lors de notre passage, il était encore possible de faire l’ascension d’Uluru, mais le rocher étant sacré pour les aborigènes, ils demandaient aux visiteurs de ne pas l’escalader. Ainsi, son ascension était fortement déconseillée à ceux qui sont soucieux de respecter leurs croyances et nous en faisons partie ! Depuis le 26 octobre 2019, une mesure, émanant de ses propriétaires, les aborigènes Anangu, interdit de manière permanente son ascension

Ceci dit, lors de notre visite, l’ascension était de toute façon fermée à cause des fortes chaleurs. Il paraîtrait même que plusieurs personnes sont mortes en tentant cette ascension ! Il faut dire que la pente est extrêmement abrupte…

En fin de matinée, on décide de retourner au Camping pour payer la nuit qu’on a passé (étant arrivés après 20 h et repartis tôt ce matin, la réception était fermée). On paye 2 nuits et la 3ème est offerte ! On déjeune et nous passons une après-midi repos à la piscine qui est plus qu’agréable avec cette chaleur ! 

Sachez que, moyennant une « petite » somme, des balades à dos de chameau sont possibles notamment au coucher du soleil.

1 jour au parc du Kata Tjuta (Monts Olgas)

parc du Kata Tjuta (Monts Olgas)

Jour 5 – Parc du Kata Tjuta (ou les Monts Olgas)

Moins connu que le mythique rocher de Uluru,  les dômes rocheux de Kata Tjuta (les Monts Olgas) sont pourtant tout aussi impressionnants et ne sont situés qu’à 40 km de Uluru. 

Nous avons commencé la visite par le sentier le plus long de Kata Tjuta : la Vallée des vents (« Valley of the Winds Walk« ) – Une boucle de 7,4 km à travers les dômes, le long de lits de ruisseaux asséchés et des points de vue grandioses ! À commencer tôt car le sentier ferme à 11 h à cause de la chaleur. Nous avons mis 3 h pour faire la randonnée et en bonus peu de mouches grâce au vent!

On a ensuite enchaîné avec le sentier de « Walpa Gorge Walk« , une piste rocailleuse de 2,6 km A/R qui monte doucement jusqu’à une faille. Le fait d’être entouré par la gorge est impressionnant mais rien n’à voir avec la randonnée précédente…

Tout comme Uluru, Kata Tjuta (qui signifie littéralement « Beaucoup de têtes ») est sacré pour le peuple aborigène Anangu, qui habite les lieux depuis plus de 22 000 ans. Le site constitue un repère important de leur vie spirituelle.

Le parc national d’Uluru-Kata Tjuta est une terre aborigène gérée conjointement par ses occupants originels, le peuple Anangu, et Parks Australia. Le parc est classé au Patrimoine Mondial de l’UNESCO, tant pour ses valeurs naturelles que culturelles.

Les Monts Orlga représentent en faite une succession d’amas de 36 blocs qui forment au final des vallées et des gorges. Le plus haut des 36 dômes culmine à 1070 m et domine la plaine environnante. Ce dernier dépasse de 200 m Uluru au passage.

En ayant commencé la visite à 8 h 20 (partis de Uluru vers 7h30), nous avons fini vers 14 h. Après midi repos à la piscine du camping. 

2 jours à Kings Canyon

Kings Canyon - Centre Rouge - Australie

Jour 6 – Route vers Kings Canyon

Nous avons un peu hésité à faire le « détour » à Kings Canyon qui représente tout de même un crochet de 300 km, bon, une broutille pour un pays comme l’Australie ! Mais on s’est dit que ce serait dommage d’être venus jusqu’ici et ne pas le faire. Après avoir dit au revoir à nos voisins du sud rencontrés la veille au camping, fais le plein d’essence et quelques courses, nous prenons la route direction Kings Canyon. 300 km et environ 3 h 30 de route nous attendent.

Kings Canyon est un canyon situé dans le parc national de Warrtaka. Il n’ a pas de frais d’entrée à Kings Canyon, le site est accessible gratuitement.

En arrivant vers midi, on mange et on décide de faire la courte marche Kings Creek Walk qui fait 2 km aller-retour, au cœur du canyon. Cette marche longe le lit de la rivière (asséchée à cette période de l’année) et une énorme pierre est tombée sur la plateforme du coup, la fin du sentier est en travaux.

Sur le parking, on profite d’un point wifi pour finaliser un article sur le blog (conditions de travail particulières avec filet à cause des mouches !)

travailler avec un filet anti mouches à Kings Canyon en Australie
Travailler avec un filet anti mouches dans un parc en plein milieu du désert australien !

puis on va au camping, le seul près du park : Kings Canyon resort, 40 AUD la nuit avec électricité (même prix sans électricité). Le camping est désert à cette période de l’année, on doit être 3 vans dont un couple de français anciens profs qu’on avait croisé à Uluru sur l’autre camping. On discutera avec eux un bon moment à la piscine ainsi qu’avec un groupe de jeunes français travaillant en Australie. En rentrant au van, je croise mon 1er dingo qui semble inoffensif, on dirait un chien sauvage quoi. Coucher de soleil sur Kings Canyon depuis la plateforme du camping. Le soleil se couche à l’opposé du coup, comme pour Uluru, on le voit changer de couleur. Joli mais beaucoup de monde, on se demande d’où sortent tous ces gens puisque le camping semblait désert… 

Coucher de soleil sur Kings Canyon depuis la plateforme du camping Kings Canyon resort
Coucher de soleil sur Kings Canyon depuis la plateforme du camping Kings Canyon resort

Où dormir à Kings Canyon ?

Kings Canyon resort, $25/personne pour les sites avec ou sans électricité. Situé à quelques kilomètres du site, le caravanpark est paraît-il très fréquenté par les dingos, nous n’en avons vu qu’un et il n’est pas agressif. Le coucher de soleil peut être admiré depuis une plateforme d’observation située à quelques mètres du caravanpark. 

Jour 7 – Kings Canyon

On se lève encore tôt aujourd’hui car on veut faire la Kings Canyon Rim walk. Une boucle de 6 km sur la partie haute du canyon. Prévoyez 3 à 4 h pour faire cette marche. À cette période, le sentier ferme à 9 h à cause de la chaleur. Du coup, on la démarre à 8 h (le camping n’est qu’à quelques km donc le trajet est rapide). La marche débute par une pente bien raide qui conduit au sommet du canyon puis longe le rebord du canyon avant de redescendre au parking. Au bout d’environ 2 km, ne manquez pas le point de vue de Cotterill’s bridge (600 m A/R). La vue est magnifique !

Un peu plus loin, un autre détour de 600 m A/R permet de rejoindre le Jardin d’Eden, un trou d’eau permanent entouré de végétation, de palmiers et surtout où règne un calme absolu avec en fond sonore le chant des oiseaux. N’oubliez pas de prendre suffisamment d’eau car aucun point d’eau n’est disponible pendant la marche. Nous sommes partis avec 3 L pour 2 et on a quasiment tout bu.

A partir de 11h, le soleil tape vraiment fort et la chaleur est difficilement supportable. Heureusement, nous arrivions vers la fin puisque nous avons fini vers midi. Nous avons donc mis 4 h en faisant de nombreux arrêts photos et pauses. C’est à mon sens une randonnée incontournable pour découvrir Kings Canyon. Les paysages sont magnifiques, on a parfois l’impression d’être sur une autre planète, Mars peut-être ! Le contraste entre les tons orangés de la roche, le bleu du ciel et le vert de la végétation est juste splendide et très photogénique. C’est vraiment là qu’on mesure pleinement la beauté du lieu et son caractère grandiose. D’extérieur, on ne s’imagine pas à quel point c’est beau.

Le parcours est très bien fléché et Heureusement car on pourrait vite se perdre au milieu de tous ces rochers! La petite randonnée de la veille semble bien insignifiante comparée à celle-ci. D’autre part, il est possible de ne faire que la dernière partie de cette rando. La marche est plus courte, vous serez obligé de faire un aller-retour mais surtout vous raterez le plus beau…

Pour les marcheurs expérimentés, Giles Track, un parcours de 22 km, relie Kings Canyon à Kathleen Springs.

Route vers Adélaïde

Les Amoureux du Monde en van en Australie
On the road again !

Nous retournons ensuite au camping pour prendre une douche, déjeuner et faire un plein d’essence car ce ne sont pas moins de 1600 km qui nous attendent désormais pour rejoindre Adélaïde dans le sud de l’Australie. Arrêt de 1 h devant le camping de Kalgera pour profiter du wifi gratuit pour une pause réseaux sociaux ! Beaucoup d’aborigènes ici vendent leur toiles, tous ont l’air pas mal alcoolisé, sales, bref, ça ne donne pas vraiment envie de rester. Il est presque 19 h, le soleil va se coucher, on s’arrête 20 km plus loin sur une aire de repos gratuite pour la nuit juste à la frontière entre le territoire North et territoire South (NT-SA border). Poubelle et WC et un ciel étoilé de dingue où l’on distingue clairement la voie lactée.

aire de repos pour passer la nuit avant Coober Pedy
Aire de repos à la frontière entre le territoire North et territoire South (NT-SA border) pour passer la nuit avant Coober Pedy

Après un arrêt à Coober Pedy, LA capitale mondiale de l’Opale, nous atteindrons Adélaïde 2 jours plus tard.

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2 commentaires sur “Visiter le Centre Rouge en 7 jours : Alice Springs, Uluru, Kata Tjuta et Kings Canyon”

    1. Hello 🙂 Merci pour votre message. On garde tellement de beaux souvenirs de nos 2 mois passés en Australie et notamment le centre rouge. Une expérience de dingue ! Tout comme un tour du monde d’ailleurs ! N’est-ce pas ??! 😉

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